lundi 26 septembre 2016

''This truly is no country for old men''

no country for old men javier bardem anton chigurh cool guys dont look at explosions
https://giphy.com/gifs/no-country-for-old-men-javier-bardem-anton-chigurh-yS4pubxgAruXm

Présentation: 

 «Non ce pays n'est pas pour le vieil homme» est un film réalisé par les frères Ethan et Joel Cohen sorti en 2007 basé sur le livre du même nom de Cormac McCarthy. Le film est établi principalement sur 3 point de vue: le chasseur, le shérif et l'assassin. L'histoire débute lorsque le chasseur rencontre malencontreusement les suites d'une fusillade au milieu du désert qui est survenu lors d'une transaction de drogue qui a mal tourné. Celui-ci qui est bon pisteur suit la trace du «dernier homme debout» détenant le magot et étant aller mourir a quelque centaine de mètres de la tuerie. Le chasseur prend l'argent et ainsi commence une chasse a l'homme où un assassin aux principes dérangeant et le shérif de la petite ville se lance a ça a poursuite. L'un a la solde du crime organisé envoyé pour récupérer le magot a n'importe quel fin et l'autre dans le but noble de dépêtrer un homme qui s'est enfoncer les pieds dans plus de problèmes qu'il ne peut gérer.

Image result for no country for old men
http://nickyarborough.com/wp-content/uploads/2015/12/no-country-for-old-men_30262_4ea5fa772c058837cb0027d1_1320295952.jpg

Caractéristique cinématographique:

Le film est très psychologique, le plus important est le développement des personnages. Malgré que le dialogue sois une prédominance trame narrative, celui-ci réussi a faire avancé l'histoire avec des scènes et des plans très révélateurs, que se sois pour introduire les personnages ou pour détruire les fausses impressions que l'audience et eux-mêmes ont a propos d'eux-mêmes, en voici quelques-unes marquantes:


-Scène au départ du policier dans le poste avec l'assassin derrière menotté, la profondeur de champ est peu profonde rendant l'arrière plan du policier au téléphone flou, ajoutant un angoisse avec l'assassin qui se libère tranquillement. Le policier inconscient de se qui se passe derrière lui se fait étrangler, un plan en «over-head» est amener avec travelling avant vers le visage crispé de l'assassin qui doit maintenir une pression musculaire considérable sur sa victime.
 -Pour introduire le personnage du chasseur, le plan subjectif est utilisé a profusion, celui-ci traquant ses proies a travers la mire de sa carabine l'on nous expose a ses balayage en panoramique horizontal du paysage qui l'entoure. Le plan coupe a un plan rapproché épaules laissant percevoir son apparence, surtout de son visage. Montrant ses aptitudes observatrice et son physique d'homme endurci par la vie.
-Après être retourné a l'endroit de la fusillade et s'être fait embusquer par des criminels, le chasseur reçois de la chevrotine dans l'épaule en s'enfuyant par la rivière, celui-ci se cache plus loin au flanc d'une montagne regardant de loin ses assaillants le chercher partout dans le désert en camionette, le plan de grand ensemble est utilisé pour montrer un distance sécuritaire entre lui et les attaquants.
-Un peu plus tard l'assassin dans sa poursuite s'arrête a une station service et commence un discussion un peu agressive avec le propriétaire de l'endroit. Il s'en suit une très longue séquence de champs-contre-champs très neutre et monotone de la conversation où la vie de l'homme derrière le comptoir est mise en jeu sur les probabilités d'un pile ou face. la monotonie de la séquence de dialogue est réduite grâce a des coupures sur des gros plans d'objets qui interrompe la conversation de temps a autres, comme un plastique de gomme a mâcher et le sous de pile ou face.
Image result for no country for old men
https://media1.britannica.com/eb-media/53/109353-004-4EB967B1.jpg
-Après avoir été touché par une balle dans une confrontation au chasseur, l'assassin dois se rendre dans une pharmacie pour se soigner, mais il doit le faire sans se faire remarquer. Alors il utilise une voiture en avant de la vitrine pour créer une diversion. Pour cela il met en feu la bouche d'essence du véhicule, avec très gros plans sur l'action qu'il fait mettant en évidence la concentration de l'individu sur sa tâches, et entre dans la pharmacie. Il entre dans la pharmacie et la camera fait un travelling arrière le suivant vers l'arrière du bâtiment pendant que la «mèche» atteint le réservoir du véhicule et que celui-ci explose, distrayant tout les clients et employés présent a l'intérieur lui donnant la tranquillité recherché.
-Durant la cavale, le chasseur va se cacher a el paso dans un petit motel pour attendre sa femme et s'enfuir, pour situé l'emplacement a l'auditoire le film utilise un plan du ciel avec un avion qui passe suivi d'un mouvement panoramique vertical montrant le panneau du motel ainsi que le nom de la ville. Ces informations sont importantes car l'histoire est basé sur le principe de «qui sais quoi?» C'est suivi d'un travelling arrière du chasseur entrant la prémisse des lieux enchainé d'un panoramique horizontal lorsque celui-ci se fait aborder par une dame au bord de la piscine et suivi d'un travelling latéral alors que celui-ci tente de repousser les avances de la dragueuse.
- Après la fusillade au motel le shérif y retourne pour trouver quelque indice, a son arrivé il se rend compte que le verrou de la porte a été explosé. Celui-ci reste figé quelques instant fixant du regard le verrou et préparant son arme. Un très gros plan du verrou est amené et du point de vue de la caméra, l'on peut apercevoir la réfection de l'assassin caché dans le coin, attendant patiemment.
-Ensuite qu'il aie trouvé la femme du chasseur, un plan d'ensemble de la maison de celle-ci est établi. L'homme sort de la demeure sans dire un mot et se dirige vers sa voiture. S'éloignant de l'endroit, celui-ci se permet de relaxer un peu mais soudainement, arrivant hors champ, surgi une voiture qui embouti la sienne.

no country for old men movies film the coen brothers tommy lee jones
https://media.giphy.com/media/MdXNbdWtHAhEs/giphy.gif

Conclusion:

Le film «non se pays n'est pas pour le vieil homme» a une trame narrative similaire au film western: « le bon, la brute et le truand». Pourtant la ressemblance s'arrête là, il n'y a pas de grand héro ou de grande cause, la personne désigné comme vilain de l'histoire est surement celui qui suit le plus ses principes. Il n'y a que des hommes égaux qui se différencie par leurs actions et leurs déterminations. L'assassin est au trousse du chasseur non par choix, mais parce que les opportunités de sa vie l'on mener jusqu’à cet instant, de même pour le chasseur qui a simplement pris l'opportunité quand il est tombé sur l'argent de le prendre. Pour se qui est du shérif, c'est simplement son devoir en tant que représentant de la loi, et chacun est dans sa quête pour la survie. C'est un film où l'on retrouve très peu d'action et beaucoup de dialogue sur les interactions des personnages avec le monde qui les entoures, pour la plupart inconscient de la situation que ceux-ci font face. Les fusillades ou grands développements se passe souvent hors champs ou simplement entre deux scènes car cela importe peu, ce qui importe est la réactions des personnages face a ceux-ci. Le film reste néanmoins captivant et donne goût de rester pour voir la conclusion.



no country for old men the coen brothers javier bardem joel coen ethan coen
https://giphy.com/gifs/no-country-for-old-men-the-coen-brothers-javier-bardem-sovPXfYz5WZe8

lundi 19 septembre 2016

Charlie Chaplin: indomptable

https://66.media.tumblr.com/57335d9fe38f466a7e7c3316adb1830a/tumblr_o5r8ou7N4H1rdfgw4o1_500.gif

Homme au milles talents

 

 Producteur, acteur, scénariste, directeur. Charlie Chaplin est un icône a ne pas manquer lorsque nous voulons une rétrospective de l'histoire du cinéma. Son rôle dans la popularisation du burlesque est très importante. entre 1920 et 1930 ils fut le réalisateur de plusieurs film reconnu pour leur implication dans la culture du cinéma tels que:

  The kid - février 1921
  Charlot et le masque de fer - septembre 1921
  Jour de paye - avril 1922
  Le pèlerin - février 1923
  L'opinion publique - septembre 1923
  La ruée vers l'ors - juin 1925
  Le cirque - janvier 1928
  Les lumières de la ville - février 1931

Le cirque


Je vous présenterez pour ma part le cirque plus en détail. Le film raconte l'histoire de charlo et de la jeune acrobate a dos de cheval,  fille du propriétaire d'un cirque. Alors que celui-ci fût malencontreusement accuser de vol, il trouva alors refuge dans les attractions d'un cirque. Dans sa course, il fit son chemin jusqu'au chapiteau principal où un spectacle était donné. Sa panique et sa maladresse lui causera de  faire des singerie sur la scène se qui fera rire le publique et donna une bonne publicité se qui fit décider le propriétaire de l'engager en tant que clown. C'est ainsi qu'une romance avec la fille maltraité du patron commença donnant au pauvre charlo une raison pour impressionner,

Ce film est rempli d'éléments du burlesque, il en fait bonne figure. Le jeu absurde est très présent dès le départ ( si l'on ne compte pas la scène dramatique d'une jeune fille maltraité),  on le retrouve dans la scène de fuite avec charlo se perdant dans le labyrinthe de miroir pour échapper a la police. il rencontre par mégarde le véritable voleur, aussi en fuite. Celui-ci voulant récupérer le porte-feuille volé tente de d'attraper les réflexions. Poussant charlo a sortir du labyrinthe, tomber nez-à-nez avec la police et se cachant parmi les figurines dansantes de l'attraction, ridiculisant leur incapacité a faire la différence. S'en suit d'une bastonnade avec le voleur qui tente de se faire passer aussi pour une figurines et tenter de reprendre encore le porte-feuille, mais ultimement dois rester figer alors que charlo lui frappe la tête pour ne pas être démasquer. Dès ces premières scènes le film incorpore tant de caractéristique du burlesque. On y retrouve aussi beaucoup de «slap-stick», une de mes blagues favorite est lorsque charlo espionne la clairvoyante faire une prédiction à l'acrobate à cheval où celle-ci marierais un charmant jeune homme au cheveux noir qui se trouve proche. Sorti de nul part, Charlo fou de joie «jump-kick» un clown venant tout juste d'arriver derrière lui et lui renverse des déchets dessus.


Ce film est d'une complexité incroyable, tant dans son humour déglingué que dans sa trame tragique des malheurs d'un jeune homme malchanceux et d'une jeune fille abusé, affligés par leur illusions de l'amour pour échapper a un monde cruel qui ne veut que les avaler pour consumer leur énergie et ensuite les recracher, les laissant vide dans le processus. Le jeune homme rigolo tombant amoureux de la fille qui ne peut le remarquer ayant ses yeux rivé sur un homme plus riche et plus important que lui. Toute ses tentatives pour attirer son attention résulte en humour poignant, mais cela ne déconcentre pas de l'arrière-ton plus sérieux et plus psychologique qui bâti ses deux personnages. Cela rend l'histoire touchante et engageante au niveau du spectateur. Le film est simplement merveilleux.